L’Univers de
Fanjove Island

Sur cette petite île privée, un club-house et juste 6 bandas (« huttes » en swahili) le long de la plage principale bien séparées les unes des autres pour préserver l’intimité de chacun. Seule l’île voisine, Songo-Songo à 7,5 km est habitée – et accueille les avionnettes qui la relient à Dar Es Salam. Les bandas, dont la forme évoque une voile de dhow – ces voiliers traditionnels de l’océan indien – sont construites en bois et recouvertes de palmes de Makuti. Conçues pour un impact minimum sur l’écosystème de l’île, leur forme permet d’avoir un salon-balcon en duplex avec, de partout, une vue éblouissante sur l’océan. Portes et fermetures en rideaux de palmes verticaux, dans le style des voiles des dhows… pour assurer ombre et fraîcheur et se protéger de vents éventuels. Éclairage – et prises électriques – grâce à des panneaux solaires sur le faîte de la banda ; eau chaude selon le même principe grâce à un réservoir de 90 litres. L’eau douce est fournie par un dessalinisateur général qui fonctionne également à l’électricité solaire –merci au climat tanzanien !

Bar/ lounge et restaurant en semi plein-air au sol en bois et sable, face à la plage. La cuisine, qui reflète les diverses traditions de la région, est composée si possible, à partir de produits locaux (pêche, viandes, légumes et crudités de Songo Songo).

L’adresse idéale pour déconnecter et se reposer. Egalement toute une palette d’activités centrées autour de l’océan mais aussi quelques balades à terre.